L’orage enrage, l’éclair éclaire
La nuit des temps,
Le vent emporte, de porte en toits
La tempête fête
La force des dieux, la trouille des hommes
Tout petits devant eux
Le marin veille, inquiet, derrière son hublot
L’amarre grince à chaque nouveau grain
Le toron s’use tout doucement
La vague est grosse maintenant
Le vent d’ouest, c’est connu, la soulève