En ce jour maudit du 30 avril, je me suis permis d’esquisser un sourire quand à une chaise réservée à une seule personne. La dite chaise non seulement doit rester siège privé mais suite à son immersion dans le port, elle sera désormais enchaînée. Même la gazette n’est pas à l’abri d’un faux pas.